Surf Report a testé le wavegarden
lundi 17 février 2014
Volcom Pipe Pro 2014 : Kelly Slater CHAMPION
jeudi 6 février 2014
Volcom Pipe Pro 2014 : Kelly Slater
Kelly Slater débute l'année de la même manière que la fin d'année dernière, par une victoire à Pipeline ! Kelly a donc remporté, cette nuit, le Volcom Pipe Pro 2014, deuxième étape du circuit Prime de l'ASP World Tour. Un Prime 5* (sur 6 possibles) où l'on retrouvait pas mal de beaux noms, notamment Adriano de Souza, Jamie O'Brien ou encore le triple vainqueur de l'étape John John Florence. Les tubes de la plus célèbre vague hawaiienne étaient bien présents et toujours aussi puissants pour le dernier jour de compétition où Kelly Slater a démontré une fois de plus son aisance et sa connaissance parfaite du spot, en scorant notamment au round 4 un heat quasi-parfait avec 19.77 points (sur 20 possibles) avec un 10 indiscutable. Le King affiche donc sa détermination dès le début d'année ! A noter également la belle perf de Maxime Huscenot qui était proche d'une qualification pour les demi-finales.
Voici les photos de cette dernière journée de compétition, et les résultats.
Voici les photos de cette dernière journée de compétition, et les résultats.
Les résultats :
Finale :
Pos
Name
From
Total
Top Scores
Needs
1
Kelly Slater
USA
Win by 1.93
9.53 + 6.17
15.70
2
Wiggolly Dantas
BRA
Needs 7.44
8.27 + 5.50
13.77
4
Adriano De Souza
BRA
Needs 7.28
8.43 + 2.27
10.70
3
Mason Ho
HAW
Needs 8.01
7.70 + 3.80
11.50
Demie-finales :
Pos
Name
From
Total
Top Scores
Needs
2
Wiggolly Dantas
BRA
Needs 6.11
7.73 + 2.67
10.40
4
Mitchel Coleborn
AUS
Needs 8.47
1.93 + 1.63
3.56
1
Kelly Slater
USA
Win by 3.43
8.00 + 5.83
13.83
3
Dusty Payne
HAW
Needs 5.58
4.83 + 1.57
6.40
Mens, Semi, Heat 2
Pos
Name
From
Total
Top Scores
Needs
1
Adriano De Souza
BRA
Win by 2.77
8.77 + 8.00
16.77
4
Torrey Meister
HAW
Needs 7.84
6.17 + 2.50
8.67
2
Mason Ho
HAW
Needs 7.94
8.83 + 5.17
14.00
3
Kiron Jabour
HAW
Needs 8.34
5.67 + 5.43
11.10
LONG BEACH REVIVAL
mercredi 5 février 2014
LONG BEACH REVIVAL

During the early 20th century, Long Beach had regular, consistent surf. The city even played host to a number of surf contests, including the Long Beach Surfing Contest in the late 1930s. But Long Beach’s days as a surf town were numbered. In 1949, to help protect the U.S. Navy’s burgeoning Pacific Fleet, the 2.5-mile Long Beach Breakwater was constructed. It was the last of three, eight-mile breakwater sections in the area that cut off the city’s public beaches from ocean swells.
“When our guys came back at the end of World War II, they came home to basically a dead sea,” said Robert Palmer, chair of the Long Beach chapter of the Surfrider Foundation.
The Long Beach Breakwater—which stretches between the outlets of the Los Angeles and San Gabriel Rivers—not only stops wave action, but also traps pollutants dumped by the ports and rivers. The Navy relocated most of its vessels in the ‘70s, and for the last 17 years Palmer has been working to reconfigure the Long Beach Breakwater, with the hopes of restoring the region’s surf and improving its water quality. Palmer’s fight started after he took his then 7-year-old daughter to the beach for a swim, only for her to emerge a few minutes later with two trash bags wrapped around her legs.
“When I first raised the issue, our local representatives basically laughed at me,” said Palmer. “We’ve been fighting them ever since.”
But times have changed and the Long Beach City Council has switched its stance, albeit tentatively. “The city is in favor of doing a federal study,” said Vice Mayor Robert Garcia. “If we were able to protect homes and bring back surf it would be a huge benefit to the community.”
A lack of surf, coupled with close proximity to more popular Orange County and LA beaches, hinders the city’s minimal beach tourism. without the breakwater, surf in Long Beach would be comparable to Seal Beach. estimates that restoring surf to Long Beach could result in nearly 400,000 annual visits.
The city has set aside $2.25 million for a $3 million feasibility study. Once the breakwater’s owners, The U.S. Army Corp of Engineers, are able to secure the rest of the funds, they can begin a study to analyze several options for reconfiguration—the goal is to begin the study in 2014, with the selection of the most feasible reconfiguration option by 2017.
Some locals, however, have concerns about reconfiguring the breakwater—namely a group of residents who live on the Peninsula, a stretch of sand near Alamitos Bay. Rick Brizendine, chairman of the Peninsula Beach Preservation Group (PBPG), wants to make sure that beachfront homes would not be subjected to further erosion due to increased wave action. “We’re constantly replenishing that beach,” said Brizendine. “Additional replenishment would have to occur if you increased the wave action.”
PBPG board member Phil Osterlind also argues that the Federal Clean Water Act has helped improve water quality in the region’s rivers, which many believe are a greater cause of pollution than the breakwater itself.
It’s true that Long Beach’s water quality has improved over the last few decades, in part because upriver cities have worked to stem river-borne pollutants, yet Dr. Chad Nelsen, the environmental director for Surfrider, noted that addressing river pollution is only part of the solution to the environmental issues. Increasing circulation off the coast, in his opinion, could help disperse trapped pollutants.
“Natural circulation is just good for a coastal environment, you need to do both to address the problem,” said Dr. Nelsen, adding that even knocking down a portion of the breakwater and spreading some its rocks along the ocean bottom could encourage a return of kelp growth and rocky reef life.
“Usually when we lose or degrade a wave it’s gone forever,” added Dr. Nelsen, “Killer Dana is a good example. But this is different. This is a case where the idea has some direction.”
Garrett McNamara a fait équipe avec Mercedes-Benz pour shaper des planches de surf spéciales pour les vagues de Praia do Norte, à Nazaré,
dimanche 2 février 2014
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Peniche dévoile le spot de grosse vague de Papoa

Belharra à la rame : le récit et les photos
La tempête Hercule a disparu, mais la tornade médiatique post-Belharra, elle, bat son plein. Sans surprise, les photos et les vidéos (la nôtre est là) de la session d’hier inondent le web. Sans forcément prendre la pleine mesure de ce qui s’est passé sur le spot.
Déjà séduit par les vagues européennes l’an dernier lors de sa session à la rame à Nazaré, Shane Dorian était cette fois venu découvrir la vague française, dans l’optique de la surfer à la rame. Et c’est exactement ce qu’il a fait. “Veni, Vidi, Vici” pourrait dire l’Hawaïen. Par sa présence au line-up, celui que beaucoup considèrent comme le meilleur surfeur de grosses vagues au monde a rendu le spot légitime aux yeux de nombreux spécialistes. Et il n’était pas le seul : Jamie Mitchell, et Grant “Twiggy” Baker, avaient eux aussi fait le déplacement – accompagnés d’une équipe TV en tournage pour ESPN – pour affronter la vague… eux aussi à la rame. Sans oublier, évidemment, les habitués du spot,Peyo Lizarazu, Stéphane Iralour et Sancho en tête.
Déjà séduit par les vagues européennes l’an dernier lors de sa session à la rame à Nazaré, Shane Dorian était cette fois venu découvrir la vague française, dans l’optique de la surfer à la rame. Et c’est exactement ce qu’il a fait. “Veni, Vidi, Vici” pourrait dire l’Hawaïen. Par sa présence au line-up, celui que beaucoup considèrent comme le meilleur surfeur de grosses vagues au monde a rendu le spot légitime aux yeux de nombreux spécialistes. Et il n’était pas le seul : Jamie Mitchell, et Grant “Twiggy” Baker, avaient eux aussi fait le déplacement – accompagnés d’une équipe TV en tournage pour ESPN – pour affronter la vague… eux aussi à la rame. Sans oublier, évidemment, les habitués du spot,Peyo Lizarazu, Stéphane Iralour et Sancho en tête.
Après la tentative de Nathan Fletcher et des Français l’an dernier, la session d’hier a permis de prouver que Belharra était surfable à la rame. Pilou Ducalme, qui avait déjà tenté l’exploit il y a 4 ans, en a pleuré de joie sur le bateau, avant de décider de se jeter à l’eau à son tour, et de revenir quelques minutes plus tard avec son gun en deux morceaux. Un set surprise plus gros que les précédents a balayé les surfeurs présents au line-up, et brisé plusieurs planches, dont le gun de Pilou et les SUP de Peyo et Steph Iralour. Ambiance.
Les deux habitués du spot ont troqué le palonnier contre la pagaie pour rejoindre les rameurs, après avoir pris quelques jolies vagues en tow en début de session.
Les deux habitués du spot ont troqué le palonnier contre la pagaie pour rejoindre les rameurs, après avoir pris quelques jolies vagues en tow en début de session.
Le drop de la journée est sans conteste celui du waterman australien Jamie Mitchell. Mais… drop, ou plutôt wipe-out ? L’Hawaïen est parti sur un monstre – estimé à 60 pieds par Shane Dorian et considérée comme la plus grosse vague jamais prise à la rame par Sancho - avant de heurter un clapot et de bouffer salement. Équipé lui aussi d’une veste gonflable, il confiera quelques minutes après, de retour sur le bateau, ne pas avoir réussi à atteindre la goupille de suite, tellement brassé par la vague. Sa vague est en lice pour les Billabong XXL.
Avec un swell en baisse depuis la soirée précédente, les séries se sont espacées de plus en plus aux alentours de 12h, faisantretomber l’excitation au line-up. Certains équipages sont malgré tout restés quelques heures à l’eau dans l’après-midi, permettant notamment à Twiggy et Jamie Mitchell de prendre quelques autres vagues à la rame mais aussi en tow-in dans des conditions “presque semblables à celles de la matinée”, d’après le photographe Greg Rabejac présent sur place. Une nouvelle page de l’histoire de Belharraa été écrite ce mardi 7 janvier 2014. Mais le livre reste ouvert.
Retrouvez LE DÉROULÉ DE LA JOURNÉE EN PHOTOS (crédit : Nicolas “Daz” Dazet, Pierre-Bernard “PBG” Gascogne et Yannick le Toquin – sauf mentions) :